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# - Resume des parties - #

 
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ED
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MessagePosté le: Mer Sep 30, 2009 10:47 am    Sujet du message: # - Resume des parties - # Répondre en citant

Retour à la civilisation

Notre valeureuse équipe rallie tant bien que mal une petite ville portugaise et fait un bref bilan avant de repartir à Paris en une semaine et demi. A peine arrivé, ils apprennent par la presse locale que les meurtres de la rue saint maure sont toujours d'actualité. Des couples mais surtout des femmes sont retrouvées battues à mort. Markus part faire traduire les cartes chez un confrère de l'université linguistique ( liste des tribus, des Ethnies... ). En discutant avec ses pairs, il apprend entre autre que le poumon de fer vient être inventer par deux Anglais.

De son côté, Porl confit une mission à Niko avant de partir faire des recherches sur l'artiste Di Roffis. Grâce à quelques connaissances, il rentre dans la bibliothèque principale et découvre que Di Roffis était un peintre, un architecte et un astrologue réputé. Originaire de la région frontalière austro-hongroise, il vécut un long moment à Lahïre, un petit village près de Pise. Il s'intéressait aux trains et aux ponds (deux en pierre ont été construits en Europe). Il connut une mort tragique après avoir construit une oeuvre pour un roi. Ce dernier, possessif et ne supportant pas que Di Roffis puisse créer pour un autre, le fit exécuter en lui crevant les yeux avant de le faire empaler sur un pond. Il était membre de la confrérie de la roue (ancien nom de la société Thulé).

[...]

Visite guidée des égouts de la ville

Le duo passe du temps dans ses recherches et Niko met ce dernier à profit en partant à la recherche de nouvelles recrues susceptibles de les aider. Ayant un fort penchant pour la manière forte, il se rapproche de jeunes extrémistes. Comme le lui avait demandé Porl, il met l'accent sur des recrues italiennes. Après une longue discussion, il embauche trois étudiants un peu marginaux. En sortant du bar dans lequel il venait de mettre au point quelques détails techniques, il entend un cri étouffé de femme. Faisant signe à ses nouveaux équipiers, il s'élance dans la nuit pour découvrir la provenance de cette perturbation et arrive droit dans une ruelle sombre de Saint Maure. Il ne distingue rien car tout semble recouvert une ombre. Faisant signe à ses hommes, Niko longe les murs tout en évoluant vers le point stratégique. Mais au moment où l'homme de tête pose le pied dans une zone plus dense, une voix caverneuse s'élève du fond de la ruelle et annonce :

- 19 porte bonheur.

Et à une vitesse fulgurante, une forme se saisie de l'homme qui a eut le malheur de s'avancer. Niko s'enfuit vers les policiers qui sillonnent le quartier et leur explique rapidement qu'il a entendu des cris. Il reviennent tous sur les lieux mais trop tard, il n'y a plus rien. Les policiers se divisent et reprennent leur ronde. Niko et le deuxième enquêtent de leur côté et rapidement, ils retrouvent devant une bouche d'égout ouverte le cadavre du soldat. Niko décide alors de visiter les sous-sols de la capitale. Après quelques hésitations stratégiques et après avoir découvert un bout de bois à brûler, les deux hommes descendent dans les boyaux visqueux. Quelques couloirs plus loin, une forme les prend en chasse.

- La bourse ou la vie, crie la créature dont la voix seule fait frissonner les deux soldats.

Ils distinguent à peine une grosse ombre qui se dirige vers eux. Niko lui lance quelques pièces mais la créature met une mandale à l'homme et lui traverse le corps. Elle continue de s'avancer vers Niko qui décide alors de s'enfuir. Quelques mètres plus loin, la torche s'éteint et notre homme termine dans le noir. Par chance, un policier l'entend crier et lui ouvre une trappe pour l'aider à se tirer de ce mauvais pas. Les policiers suspicieux de le retrouver encore une fois sur les lieux d'un crime, le raccompagnent jusqu'à la sortie du quartier.

[...]

Les trains, on adore

Niko s'entretient avec Jean Barnabé qui l'interroge un long moment sur la créature qu'il a rencontré mais malheureusement, la description ne lui dit rien. Au final, Niko recrute deux anarchistes italiens, un peu criminels sur les bords mais très compétents dans bien des domaines.

Après une brève discussion, ils décident d'un commun accord de continuer leurs recherches en Italie, sur les traces de l'artiste du tarot. Notre équipe se rend dans un premier temps à Lyon. Dans le train, Porl retrouve sa cousine Rachel et ils s'installent tous les deux un peu à l'écart des autres afin de discuter de sujets plus personnels. Rapidement, la dame saoule l'écossais en lui parlant de sa mère malade qu'il n'est pas allé voir depuis longtemps... Le pauvre homme, atterré, tente de se suicider mais alors qu'il approche son couteau de sa peau, il voit dans la vitre du train qu'il ne s'agit absolument pas de sa cousine mais d'un horrible monstre à la peau lisse et coulante avec une bouche immense et pleine de dents pointues.

Porl se pique avec la pointe de son couteau afin de revenir à lui. Se sentant repéré, le Doppleganger lui tapote l'épaule et s'enfuit vers les toilettes. Il prend alors son apparence, lui fait signe de son chapeau melon puis repart en courant dans les couloirs du train. Porl, encore un peu sonné par cette rencontre, s'élance à sa poursuite. Il traverse le premier wagon, appelle Markus qui attrape sa mallette et le suit. Plus loin, Niko voit passer ses compagnons, se lève et suit le mouvement. Malheureusement, ils ne retrouvèrent pas le monstre. Un contrôleur, intrigué par cette agitation, les interroge sur leur déplacement.

- On m'a volé mon porte-feuille. Déclare Porl. Je ne me suis pas méfié lorsque cet homme m'a demandé l'heure.

L'homme leur promet de surveiller les wagons à la recherche de leur voleur. De nouveau à l'abri, dans un compartiment privé, ils font un récapitulatif des évènements. Ils regardent dans les contes pour enfants s'ils trouvent une définition du monstre qui a attaqué Porl. Ils ressortent donc les deux livres qu'ils avaient trouvé chez le prêtre.
Trolls et demi-trolls d'Europe Centrale
Géants et Demi-Géants d'Afrique
Ne trouvant rien dans les livres, ils décident de mettre à profit l'arrêt à Lyon pour faire quelques emplettes. Dans un premier temps, ils achètent trois nouveaux livres dans la même collection que les deux premiers.
Dopples, Lycanthropes et autres changeformes
Contes Scandinaves et Russes
Cannibales – Légendes des hommes qui deviennent des créatures mangeuses d'hommes.
Markus apprend de la part de Porl que le sel disperse les esprits et que le fer forgé les empêche de traverser mais ne les disperse pas. Niko, apprenant que seules les balles d'argent peuvent tuer plusieurs de ces créatures, s'en fait faire tout un barillet. Le groupe achète également du sel, de petits miroirs de poche et des lampes puis ils rembarquent pour l'Italie, direction Pise !

Cette fois-ci, le voyage est paisible mais à l'arrivée, Niko nous signale que ses hommes ont dynamité le train et ils ont juste le temps de sauter hors de ce dernier. Markus se fait légèrement blesser en atterrissant. Le train avance encore un peu puis explose. Sans plus s'attarder, le groupe part louer des véhicules afin de rallier le petit village de Mercucios. L'équipe se divise en deux, les premiers partent en berline tandis que le groupe de Niko prend un camion à plateau.

[...]

Viens dans mon paisible petit village

Ils se rendent donc dans le petit hameau de Mercucios : Lahïre. Un petit bourg composé majoritairement de fermes. La berline s'arrête à l'orée du village et Porl, Markus et l'étudiant Italien le visitent. Ils apprennent rapidement que Di Roffis avait tenté de faire un musée mais sans succès. Un des villageois interrogé leur demande s'ils font partis du groupe de militaires. Intrigués, les trois hommes aperçoivent un gros camion qui se fait chargé de vivres et condiments divers. Porl voit sur eux un 7 d'épée... Aïh... Il a un mauvais pressentiment pour la suite des évènements.

L'artiste a participé à plusieurs constructions dont la mairie et l'école mais avec le temps, ces dernières ont subies des dommages et ont été reconstruites. De l'époque, il reste néanmoins le pont. Après une brève visite au prêtre qui leur indique la dernière adresse de Di Roffi, notre trio part explorer le pont.

Sous ce dernier, Porl découvre une entrée étrange qui se révèle être la porte d'un bar caché. Bien que l'endroit soit un peu glauque et mal éclairé avec ses bougies tremblantes, ils sont bien accueillis. Le barman qui n'a pas le profil des autres villageois leur sert à boire. Porl repère deux londoniens malades qui sont venus se reposer. Une question surprend néanmoins les hommes :
- De quelle ville êtes vous ?
Mis à part que le pont n'est pas un lieu unique, ils n'apprennent rien de plus dans le bar.

[...]

Visite guidée d'un camp militaire

Tout le petit groupe retourne à l'hôtel afin de réfléchir à la marche à suivre. Porl aimerait visiter la demeure de Di Roffi malgré les militaires. Afin de savoir où ils mettent les pieds, il propose à Niko de faire une petite ballade nocturne pour faire un repérage des lieux. Après une petite mise au point sur les affaires à emporter, Porl, Nikolaï et deux des étudiants partent pour la forêt à bord du camion qu'ils laissent à l'orée du bois.

Rapidement, ils tombent sur un poste de garde constitué de quelques soldats et d'un barrage de barbelés. Intrigués par cette manifestation de force, notre équipe l'évite néanmoins sans problème. Un peu plus tard, ils en évitent un deuxième puis ils arrivent enfin dans une vaste clairière aménagée où se trouve le donjon.

Là, c'est avec une grande surprise, qu'ils découvrent une véritable armée bien organisée. Après avoir étudier les rondes des gardes autour du camp et les remparts de ce dernier, Porl propose de se téléporter le long de la muraille la plus faible. Ils laissent les deux étudiants avec pour mission d'aller chercher de l'aide au village au cas où il aurait un problème. Ils arrivent à destination sans problème puis voient des caisses le long du mur. Le plus rapidement possible, ils escaladent l'enceinte puis se dissimule dans l'ombre d'un bâtiment. Ils sentent la présence d'une figure près de la tour. Un officier sort alors du pavillon et avertit le guet de la présence de quelque chose. De leur côté, les deux chasseurs voient la présence d'un valet des épées. Porl fait le tour du pavillon et d'un roulé boulé, il réussit à passer inaperçu et se glisse dans le donjon tant convoité aussitôt suivi par Niko.
*
Les deux étudiants, restés derrière à l'orée de la forêt commencent à sentir le sol bouger et vibrer sous leurs pieds. Inquiets, ils décident de partir se réfugier plus loin en courant.
*
Le capitaine crie des ordres indistincts mais rapidement, des gardes ferment hâtivement les grilles et la panique commence à gagner les rangs. Des ordres fusent de tout côté et la mitraillette se met en route. Porl sent l'officier rajouter un 10 d'épée.
*
De leur côté, les deux étudiants voient sortir de la forêt huit sorte d'Ents, arbres géants de six mètres d'aspect sombre et noir. Le campement de tentes est en train de se faire dévaster. Les camions se font balancer, écrasant les soldats. Ces derniers, surpris dans leur sommeil, tentent de se défendre de leur mieux mais les arbres, en plongeant leur racines dans le sol, en remontent de gros cailloux qu'ils lancent comme projectiles.
*
Profitant de la débâcle totale qui semble régner dans le donjon, Porl et Niko réussissent à monter jusqu'au troisième niveau. Ils jettent un rapide coup d'œil par-dessus le parapet et voient le camp en feu tout en découvrant ce nouvel ennemi plutôt redoutable.

L'Ent qui était à la poursuite des étudiants lance un rocher sur ces derniers et les écrasent. Satisfait, l'arbre reparti tranquillement vers l'enceinte.
*
En haut de la tour, c'est un peu la pagaille. L'homme à la mitraillette est toujours en plein combat. L'officier s'est retourné et lance un défi à Porl. Niko est expulsé dans les escaliers. Durant ce temps, les arbres s'attaquent à la forteresse et les soldats commencent à utiliser la dynamite pour se défendre. Niko ayant perdu son pistolet a opté pour les poings pour affronter les divers adversaires qui se présentent à lui. Porl utilise la carte de la force et quelques secondes plus tard, son camarade fait de même. L'écossais tombe sur un homme qui manipule l'ombre pour l'attaquer. Après une belle esquive, le blond sort son épée et porte un grand coup dans le plancher.
*
Distrait pour une soudaine fissure dans le plafond, un des hommes du troisième se prend un coup de couteau tandis que le suivant se prend un coup de poing qui le sonne légèrement.
*
Au dernier étage, Porl esquive régulièrement les attaques de son adversaire. Énervé, ce dernier utilise de nouveau l'ombre mais au moment où il plonge la lame dans le sol, le soldat à la mitraillette tombe mort et l'officier, déstabilisé, ressort sa main désarmée. Le capitaine se rend et prend timidement la place à la mitraillette afin de dégommer un autre Ent tandis que son ex-adversaire lui fait passer les bandes de munitions.
*
Au troisième, Niko se fait attaquer par deux hommes. Il poignarde le premier et met une super mandale au second, lui cassant le bras et accessoirement, lui arrachant la tête. Tranquillement, il récupère son arme et monte au dernier étage.

[...]

Ballade au clair de lune

Dans le village, Markus Mahler se réveille en sentant le sol vibrer. Par la fenêtre de l'hôtel, il voit au-delà des maisons comme des feux d'artifices s'élevant par-dessus les arbres. Intrigué, il regarde un moment les étincelles de couleur puis, au moment où il referme les vitres, il remarque deux hommes barbus qui le fixent depuis la rue en contrebas. Il constate alors avec horreur que les dits hommes ont les paupières cousues et marchent de façon très étrange. Attrapant sa fidèle valise et n'écoutant que son courage, le médecin bondit dans les escaliers afin d'y retrouver les deux anarchistes laissés derrière. Malheureusement, il les trouve en compagnie d'autres barbus...

- Attention à ces hommes !! Crie-t-il tout en reculant vers les marches.

Mais les deux acolytes se regardent sans comprendre. Zut pensa le blond, ils ne les voient pas. Tout en remontant vers le deuxième étage, Markus lance du sel sur les deux hommes en noir.
Pas de chance, ce ne sont pas des esprits et cela ne les incommodes nullement. L'allemand fait un demi tour fort rapide pour cet homme rondouillet et faisant à tout allure l'inventaire de toutes ses possibilités d'échappatoire, il se mit à suer abondamment en réalisant qu'il n'en avait plus aucune. Il était bêtement coincé par ces étranges créatures entre le premier et le deuxième étage de l'hôtel. Il passa une main tremblante sur son visage décomposé.

Puis le souvenir d'une conversation avec Porl lui revient à l'esprit. Quelque chose de risqué mais vu ses options actuelles, il n'avait pas réellement le choix. Il se concentre donc sur le lieu qu'il voulait atteindre, il se laisse glisser dans l'ombre et... il se retrouve assis derrière le volant de la voiture de location, sa précieuse valise sur le siège du passager. Il voulut reprendre son souffle surtout après cette déplaisante sensation d'avoir plongé sa tête dans l'eau mais un mouvement sur sa gauche lui fait tourner la tête. Non loin de lui, deux barbus sont tranquillement assis sur un banc tandis qu'un troisième se dirige lentement vers lui.
Sans chercher plus, Markus démarre au quart de tour, défonçant le phare gauche ainsi que divers endroits de la carrosserie du véhicule avant de parvenir à reprendre le contrôle du petit projectile. Adieu caution... A quelques kilomètres, une fois hors de danger, Markus stoppe son engin et peut enfin se taper une bonne crise de nerfs.

- Mon dieu, se dit-il, comment cela pouvait être possible !!

[...]

Explosions et téléportations en série

Porl décide de tirer dans les caisses de la cour afin de faire exploser les munitions. Après quelques essais, il réussit à dégommer un des Ents qui avaient pénétré dans la cour. Ça explore un peu partout. Porl et Niko ne voulant pas rester bloquer dans la tour, se téléportent dans un des véhicules intacts garé au pied de la muraille. Il s'agit d'un petit blindé léger et Niko se précipite sur la mitraillette arrière en gueulant à son copain de démarrer au plus vite. Il se met à arroser l'Ent qui s'approche d'eux. Tandis que Porl met en route l'engin, une secousse sur l'arrière l'intrigue. En effet, le capitaine Italien, ne voulant pas finir comme ses hommes, s'est lui aussi téléporté dans le véhicule et n'ayant pas lâché sa précieuse mitraillette, aide Niko à tenir en respect l'arbre belliqueux. L'écossais réussit enfin à démarrer et broie les mains de l'Ent qui tentait de les attraper puis s'engage sur les chapeaux de roue dans le sentier forestier. Les deux derniers arbres s'enfoncent dans la terre. Inquiet, les trois hommes surveillent les environs.

Comme prévu, les Ents ressurgissent du sol pour les attaquer. Les mitraillettes hurlent et Porl fait de petits virages serrés sur la route caillouteuse. Finalement, au bout de vingt longues minutes, ils réussissent à les semer et sortent de la forêt. Le capitaine, leur tend une carte de visite avec son adresse, leur fait un signe de la main avant de sauter dignement du blindé et disparaître un peu maladroitement dans l'ombre du fossé. C'est ainsi que le Capitaine Valetti, le valet d'épée d'Italie, un des rares soldats survivant de cette terrible aventure, tira sa révérence pour cette soirée.

[...]

Un barbu sous les roues

Les deux hommes, encore un peu secoués par les évènements, regagnent le village afin de récupérer leurs autres compagnons. Ils s'aperçoivent rapidement que d'étranges barbus errent dans les rues. Les percevant comme néfaste, Porl ne se gène pas pour y rouler dessus. Arrivé sur la place, Niko descend d'un bond et se précipite vers l'hôtel pour récupérer ses deux anarchistes. Il tire sur l'un des hommes le plus proche avec des balles en argent, lui explosant la tête. Porl fait le tour de la place en écrasant quelques barbus. L'hôtel est plein de vieux et lorsque Niko se retrouve face à ses deux camarades, deux barbus viennent s'interposer l'empêchant de les approcher. Finalement, ne pouvant récupérer ses deux amis, Niko se téléporte à l'extérieur où il réapparaît près d'un arbre avant de remonter dans le blindé. Ils s'enfuit de la ville, retrouvant un peu plus loin le médecin dans la berline.

[...]

Et si on remettait ça ?

Contre toute attente, Porl ne veut pas lâcher le morceau et il veut retourner tout de suite au petit fort car il pense que très rapidement, d'autres soldats viendront prendre la relève et ils risquent fort de revenir bien plus nombreux. C'est donc leur seule chance de visiter tranquillement les souterrains du donjon. Bien qu'ébranlés par la soirée, ses deux camarades acceptent et ils repartent donc pour le fort de Di Roffi. Les scènes de carnage qui les attendent surprennent le médecin qui n'avait jamais vu ce genre de chose.

Dans la cour dévastée, un dernier spot éclaire encore le centre de cette dernière, montrant un puits bouché. Après quelques recherches, ils trouvent l'entrée des sous-sols et, plus loin dans les couloirs, ils retombent sur un tunnel étrangement bien pourvu en matériel. Porl tente l'exploration mais la difficulté est telle qu'il se voit obligé de renoncer. Après un échange de place avec Niko, ce dernier demande une assurance, s'attache une corde autour de la taille, écorchant légèrement en faisant des acrobaties et réussi à descendre dans le puits. Il arrive sur une barque en bois et découvre autour de lui des alcôves en pierre de style romain dans ce qui semble être une vaste salle.

Après un bref instant d'hésitation, les deux autres hommes descendent à leur tour, le médecin se faisant précéder de sa précieuse mallette. Ils sont à présent tous les trois dans la barque...

[...]
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Orravan dit : psychopate dans le bon sens

Orravan dit : sous la poussieres c'est propre.

Jeo dit : Non!
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