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La Religion Chrétienne

 
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erwan
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Inscrit le: 17 Mar 2008
Messages: 682

MessagePosté le: Mer Déc 02, 2009 5:21 pm    Sujet du message: La Religion Chrétienne Répondre en citant

Le Christianisme

Il s’agit de la religion dominante en Bretagne et en Europe durant l’ère Arthurienne. Les chrétiens Bretons savent que plusieurs formes différentes de la foi existent en Europe.
Même le plus ignorants des chrétiens est au courant des informations données ci-dessous sous le titre de credo. Des personnes plus savantes ont des notions de l’histoire chrétienne.

Credo
Les croyances chrétiennes et les attitudes encouragées par cette religion différencient nettement celle-ci du paganisme. Si les chrétiens peuvent avoir des différents, voire se disputer ou se battre du fait de leur religion, ils partagent de nombreux points communs. Premièrement, les chrétiens pensent que leur salut passe par Jésus Christ. Deuxièmement, la religion est urbanisée et quasiment aucun habitant des villes n’est d’une autre religion. Généralement les actes de foi se déroulent dans des bâtiments. Le clergé est souvent alphabétisé et les moines fournissent des copies de livres qui sans eux seraient perdus. Enfin le culte est hiérarchisé et comprend de nombreux rangs et postes organisés sous forme pyramidale, suivant l’importance, la sainteté et l’influence géographique.

Historique
Sous le règne de l’Empereur Auguste, dans le royaume de Judée, naquit le fils de Dieu, appelé Jésus Christ. Echappant de peu à la mort à sa naissance, Jésus fut élevé en secret comme fils de charpentier dans une petite ville de Judée. Jésus Christ visita une première fois la Bretagne durant les « années manquantes » avant ses 30 ans. Son enfance et son adolescence n’étant pas reprise dans la bible. Son oncle Joseph d’Arimathie, était un riche marchand d’étain ayant des contacts en cornouailles. Jésus étudia avec les anciens druides et en apprit bien des choses, ce qui lui permit d’incorporer leur antique sagesse au futur Logos (le verbe de Dieu incarné en Jésus christ) du monde. Jésus retourna dans son pays d’origine pour prêcher et souffrir entre les mains de l’autorité, qui le fit torturer, puis crucifier et mourir. Sa mort remplit bon nombre d’antiques prophéties. Enterré dans la tombe de son oncle (Joseph d’Arimathie), il se releva d’entre les morts au bout de trois jours. Il visita ses plus proches disciples et les instruisit de sa nouvelle religion. Ces derniers partirent alors porter la bonne parole de la liberté chrétienne et du sauveur. Joseph d’Arimathie qui avait prêté sa tombe pour l’enterrement temporaire de Jésus fut arrêté, jugé et enfermé dans une tour à cause de sa foi. Libre des années plus tard, il était encore vivant grâce à la présence du saint graal. Il quitta son pays avec un groupe de disciples et s’installa dans l’ouest de la Bretagne. En 55 ap Jésus Christ. Il établit une chapelle à Glastonbury et y planta un buisson d’épines miraculeux qui fleurit à chaque noël. Il apporta avec lui plusieurs reliques précieuses, notamment la lance de longuinius qui avait transpercé le flanc de Jésus alors qu’il était sur la croix et le saint graal. C’est dans cette coupe que les apôtres avait bu lors de la dernière cène et que fut recueillie le sang du christ lors de la crucifixion. Plus tard, la famille de Joseph garda ces précieux objets lorsqu’elle parti de Glastonbury vers d’autres régions. Pendant des siècles, les chrétiens furent persécutés et martyrisés, servant de boucs émissaires à la colère de la population. Bien des années plus tard, l’Empereur Constantin le Grand qui s’était converti au christianisme promulgua l’édit de Milan qui proclamait la tolérance officielle du christianisme. A partir de cette date, des dirigeants de l’Eglise occupèrent des postes impériaux, augmentant son influence jusqu’à ce qu’elle devint la religion officielle de l’Empire Romain.

L’Eglise adopta alors les méthodes bureaucratiques impériales et accepta diverses responsabilités dans l’Etat, subissant d’importantes mutations. L’ancienne doctrine, « Un Dieu, une Eglise », fut étendue à « un Dieu, une Eglise, un Evêque », l’évêque romain étant le plus important et portant le titre de pape. La centralisation grandit, ainsi que le contrôle sur toutes les Eglises. Les pères de l’Eglise harmonisèrent le Nouveau Testament, les sacrements et les jours sacrés. Au fur et à mesure que l’Eglise acquérait un pouvoir temporel, le dogme et l’orthodoxie devenaient de plus en plus intolérants pour les chrétiens non romains. L’Eglise bretonne comme beaucoup d’autres, résista à l’incorporation dans l’Eglise romaine. Elle possédait sa propre tradition, aussi ancienne que celle de Rome et non corrompue par les auteurs des Evangiles. Elle avait son propre idéal comme le travail de mission, déjà actif en ces siècles reculés. L’Eglise bretonne aussi appelée Eglise Celtique a toujours suivi une orientation particulière, du fait des mélanges de foi druidique et de christianisme. On en voudra pour preuve la tonsure inhabituelle adoptée par les moines celtiques. La coutume romaine veut en effet que le haut du crâne soit dégagé alors que dans la pratique celte, l’avant du crâne est tondu d’une oreille à l’autre, en ne laissant qu’une mèche sur le devant. Un autre conflit porta sur la question de l’autorité centrale. L’Eglise celtique estimait que les abbés étaient plus importants que les évêques et se trouvaient donc dégagés de la hiérarchie romaine. De plus un différend à propos de la date de pâques (le raisonnement qui le sous-tend étant particulièrement obscur et ésotérique) augmenta les frictions. La philosophie celtique fut formellement établie en l’an 400 lorsqu’un moine breton du nom de Pelagius exposa sa doctrine de Libre Choix à rome. Il croyait que tout homme, païen ou chrétien était responsable de sa propre conduite, que l’humanité ne portait pas la faute du péché originel et que par conséquent elle était bonne par nature. Il proclama encore que chaque homme avait le droit à l’erreur et que le baptême n’était pas la condition nécessaire à la grâce divine. Il mit l’accent sur la nécessité de la pauvreté des prêtres et de la justice sociale. Son adversaire en théologie était St Augustin d’Hippo, un père de l’Eglise et auteur d’une grande partie du dogme catholique romain. En 418, Pélagius fut déclaré hérétique et disparut mais ses disciples restèrent très influents en Bretagne où la majeure partie des monastères suivent la foi celtique tandis que les évêchés sont de confession catholique romaine.


Les types de christianismes

La foi romaine : elle ressemble au dogme de l’Eglise catholique Romaine actuelle. La hiérarchie cléricale suit les ordres du Pape de Rome. Les zélotes de cette foi sont connus pour leur grande piété et leur vigueur inépuisable à promettre la damnation éternelle aux pêcheurs et aux incroyants.

La foi celtique : Elle est plus souple. Les chrétiens celtiques ne reconnaissent aucune autorité centrale et donnent à tous la possibilité de sauver son âme. Tolérée par le Pape tant qu’elle n’applique pas les préceptes Pelagiens (essentiellement refus de l'esclavage, pauvreté de l'église et égalitarisme allant à l'encontre du féodalisme), la foi celtique est vu comme une excentricité.

La foi irlandaise : L’Eglise d’Irlande est organisée de façon très différente de celle de Rome mais elle ont en commun certains titres officiels. En Irlande, un monastère est toujours associé à une tribu ou un clan et le poste d’abbé est toujours hérité par un descendant de la famille. Le chef est appelé Coarb. Il agit à la fois comme un chef ecclésiastique et comme un laïc. Il peut être un abbé ou un évêque mais sa loyauté ne vas pas à la hiérarchie de l’Eglise mais au clan ou à la tribu qui a donné la terre pour la fondation du monastère. Les prêtres irlandais peuvent se marier. Mal considéré, la foi irlandaise n’est pas considéré par Rome comme une Hérésie mais une mauvaise compréhension de la foi par les Irlandais qui sont encore trop barbare et mal éduqué pour la comprendre correctement.

La foi Arienne : Elle a été condamné comme hérétique par le Pape et n’est plus pratiqué que par certaines églises des terres Vandales et Wisigoths. Elle prêche que Jésus Christ n’est pas le fils de Dieu ni même partie divine mais un être distinct crée par la volonté de Dieu de chair et de sang.
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