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Technologie

 
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R.Mike
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MessagePosté le: Sam Oct 25, 2008 12:14 am    Sujet du message: Technologie Répondre en citant

Etant donné que dans un Space Op, ça peut servir, voici un petit exposé rapide sur l'état des technologies dans TG.

Technologie

Un Nouvel Essor

Les sciences et techniques connaissent désormais un essor sans commune mesure avec ce qui avait existé pendant des milliers d’années. Les nouvelles technologies foisonnent, apportent de nouvelles possibilités qui commencent seulement à être exploitées, beaucoup d’autres utilisations restant d’ailleurs à découvrir. Elles s’associent aux technologies plus anciennes mais déjà très avancées qui étaient considérées comme viables à l’époque des Anciens : principalement dans les domaines médical, informatique, des matériaux et de la propulsion spatiale. Voici un panorama synthétique des technologies les plus marquantes des galaxies jumelles.

Transports

Systèmes Anti-G

Ce n’est que récemment, lors de la fin du règne des Anciens, que la technologie antigravitationnelle (également appelée Antigrav ou Anti-G) a fait son apparition ou plus exactement sa réapparition, cette technologie étant en réalité très ancienne. Une véritable révolution s’en est suivie, l’antigrav s’imposant de façon croissante dans de nombreux domaines des transports à une vitesse phénoménale.
Actuellement de nombreux véhicules qu’ils s’agissent de véhicules de transport ou de véhicules particuliers ont recours à cette technologie qui reste cependant encore assez chère (aussi bien à l’achat qu’à l’usage en raison d’une consommation énergétique importante). Cela explique pourquoi des technologies alternatives, plus anciennes, telles que celles privilégiant les liaisons au sol sont encore largement répandues.
Les technologies Anti-G s’inscrivent dans un cadre plus large de technologies de contrôle de la gravité utilisant des principes similaires. Des améliorations significatives ont ainsi été apportées aux systèmes de gravité artificielle équipant les vaisseaux, les stations orbitales et certaines planètes, remplaçant avantageusement les anciens systèmes de microgravité.
Les systèmes de compensation d’accélération tels que les sièges et cocons Anti-G ont également bénéficié de ces avancées au même titre que leurs équivalents rétroactifs : les sièges et les cocons de rétroaction. La technologie Anti-G a également totalement supplanté en quelques années les ascenseurs orbitaux qui n’avaient jamais vraiment totalement convaincu du fait de leurs limitations (lenteur, couverture limitée, temps d’attente,...). Ils ont depuis lors quasiment tous été démantelés, n’étant plus du tout utilisés. Les liftoports ont ainsi été remplacés par le duo astroports terrestres / atmoports.
Les applications des systèmes de contrôle de la gravité sont extrêmement nombreuses. En ce qui concerne les systèmes Anti-G, on peut citer tous les systèmes et véhicules équipés de répulseurs tels que les ceintures Anti-G, les glisseurs et les AtmoPorts. Pour ce qui est des systèmes de gravité artificielle, ils équipent majoritairement les vaisseaux spatiaux et les stations spatiales de tous types ainsi que les cités-bulles des planètes disposant d’une faible gravité. Enfin, les rayons tracteurs, qui équipent les vaisseaux de grande taille et la plupart des stations, bénéficient également de cette technologie en remplacement des anciens systèmes magnétiques très gourmands en énergie.

Propulsion Spatiale

Afin de se déplacer dans l’espace, les vaisseaux spatiaux utilisent principalement deux systèmes de propulsion distincts : l’un est dédié aux déplacements orbitaux et para-planétaires et éventuellement interplanétaires et l’autre est utilisé pour les déplacements intersidéraux.
Dans le premier cas, la vitesse est inférieure à celle de la lumière alors qu’elle est nettement supérieure à celle-ci dans le deuxième cas. On parle ainsi de systèmes de propulsion SubLuminique (SL) et UltraLumnique (UL). Alors que dans le cas de la propulsion SL, utilisées pour les courtes distances, on se retrouve dans un schéma relativement classique de déplacement dans l’espace euclidien, la propulsion UL fait appel à un principe très complexe d’ajustement à une dimension tachyonique afin de dépasser les limites imposées par l’espace normal. Ce type de propulsion, dont la théorie de fonctionnement reste encore assez obscure, permet ainsi d’atteindre des vitesses phénoménales et de parcourir jusqu’à 10 000 années-lumière par journée standard (voire plus dans certains cas). Il est ainsi théoriquement possible d’aller d’un bout à l’autre d’une des deux galaxies en effectuant un saut tachyonique d’une durée de 10 journées standard.
Les voyages spatiaux sont ainsi rendus très courants et relativement peu chers grâce à cette technologie de pointe dont la consommation énergétique est relativement modeste.

Énergie

Production

La production d’énergie est principalement réalisée par des générateurs à fusion basé sur la technologie de la fusion froide (la fusion des atomes d’hydrogène s’opère à température ambiante) associée à des convertisseurs chaleur-électricité. Cette technologie est très largement répandue du fait de sa simplicité, de son très bon rendement tout en restant très peu cher à l’usage. L’hydrogène est en effet très peu coûteux car très facile à se procurer et le lithium est disponible à des prix raisonnables. Qui plus est, c’est un système sûr, doté de systèmes de protection éprouvés (qui interviennent dans 50% du prix d’un générateur) et qui est disponible dans de très nombreux formats et tailles différents, allant du petit générateur portatif aux générateurs de centrales disposant d’une puissance de plusieurs centaines de gigawatts.
Les énergies renouvelables sont également très utilisées sur de nombreuses planètes pour des questions économiques et/ou écologiques. On trouve ainsi très souvent des systèmes de type turbomachines (éoliennes, hydroliennes et turbines de barrages) mais également des systèmes tirant partie de l’énergie solaire ou de la géothermie. Dans certains cas, la biomasse est également exploitée mais de manière plus anecdotique.

Stockage

Le stockage de l’énergie est parfaitement maîtrisé. Il se fait par le biais de batteries appelées CellGies (cellules d’énergie) utilisant un système mixte combinant des enroulements de supraconducteurs ultra fins fonctionnant à température ambiante et un couple électrochimique de type Erbium/Xénon.
Leur capacité leur permet ainsi d’alimenter des systèmes électriques relativement gourmands pendant environ une semaine standard. La recharge est simple à effectuer soit via des générateurs à fusion ou mieux un rechargeur à fusion, soit par l’intermédiaire des prises secteur.

Transport

Le transport de l’énergie peut se faire de deux manières différentes : la transmission classique, majoritaire, qui s’effectue par le biais de câbles (généralement des supraconducteurs fonctionnant à température ambiante pour les liaisons permanentes) ; et la transmission par ondes, plus rare et réservée à des applications particulières à courte distance ou pour des liaisons provisoires dans le cadre d’une liaison ponctuelle ou pour suppléer une liaison par câbles défaillante.
Sur les planètes majeures, les réseaux de distribution planétaires desservent ainsi les principaux centres névralgiques, ce qui représente généralement 90% de la population. Les 10% restants utilisent des générateurs à fusion autonomes. La quasi totalité des véhicules sont également équipés de générateurs à fusion adaptés à leur consommation énergétique.

Télécommunications & Réseaux

Réseaux

Les systèmes de télécommunications et les systèmes d’information sont tributaires des réseaux qui ont pour vocation de faire circuler les données. Ceux-ci sont très largement implantés sur l’ensemble des planètes habitées, les maillages étant particulièrement denses, tirant partie des liaisons filaires et des liaisons radios.
Les réseaux informatiques planétaires (RIP), qu’ils soient ouverts (accès autorisé à tous) ou fermés (accès restreints), permettent d’échanger tous types de données numériques et sont bien évidemment les vecteurs privilégiés des principaux médias. Ils font également office de systèmes de positionnement en localisant les équipements informatiques mobiles par goniométrie.
Les RIP sont généralement de type terrestre (on y accède principalement grâce à des modules SysCom utilisant les ondes radio) mais peuvent également être accessibles via des réseaux satellitaires par le biais d’équipements de type ChronoCom.
S’il existe des réseaux de taille planétaire, il en existe également de taille plus modeste, généralement plus spécialisés, à l’échelle d’un continent ou d’une ville. Il existe également des réseaux reliant les planètes et les systèmes entre eux. Ils utilisent des faisceaux tachyoniques, seuls capables de permettre des transits suffisamment rapides des informations. Malgré cela, les temps de transfert restent relativement élevés puisque la durée optimale de transfert d’un paquet de données d’un bout à l’autre d’une des deux galaxies est de 10 heures (10 000 années-lumière/heure). Dans les faits, elle est plutôt proche des 50 heures même si elle peut être plus courte. Ce qui reste assez nettement plus rapide que les drones messagers qui restent cependant très utilisés, notamment lorsque l’établissement d’un faisceau est impossible ou trop long à mettre en place.
La transmission d’information en temps réel ou avec un léger décalage via les faisceaux tachyoniques n’est donc que très rarement possible et interdit donc les communications et les retransmissions directes (remplacées quand c’est possible par du différé immédiat). Cela explique pourquoi beaucoup ne considèrent les réseaux interstellaires que comme des pseudo-réseaux.

Médias

Les réseaux sont porteurs de deux principaux types de média : les médias de communication et les médias d’information. Les premiers permettent à deux (ou plus) utilisateurs de communiquer entre eux alors que les seconds ont pour but d’apporter l’information aux utilisateurs.
En ce qui concerne les médias de communication, qu’ils soient directs ou indirects, on distingue ceux à dominante orale (téléphonie, visiophonie, virtuaphonie, messages audio,…) et ceux à dominante textuelle (conversations textuelles, messages textuels,…).
Pour ce qui est des médias d’information, on distingue ceux à dominante audiovisuelle (télévision, holovision,…) et ceux à dominante textuelle (instantanés, quotidiens, magazines,…).

Systèmes Hors Réseaux

Les systèmes de communication hors réseaux restent répandus et sont même incontournables dans certains cas comme par exemple dans l’espace intersidéral, sur les planètes dépourvues de couverture satellitaire dans les zones non couvertes par les réseaux terrestres (déserts, océans,…), dans ces mêmes zones si l’on ne dispose pas de ChronoCom,…
Ils sont généralement utilisés en tant que systèmes de communication à dominante orale mais peuvent en réalité transmettre tous types d’informations. N’étant basés sur aucun protocole de communication, ils nécessitent de respecter des procédures assez strictes afin d’assurer des télécommunications efficaces.
On peut ainsi citer les GéoComs : très compacts et assez peu puissants, ils sont dépourvus d’écran et sont principalement utilisés pour communiquer de manière orale à des portées relativement modestes (20 km maximum). Les VidéoComs constituent la version améliorée des précédents et sont généralement implantés dans des véhicules. Leur portée est nettement supérieure puisqu’il permettent de communiquer jusqu’à 2000 km pour les plus performants. Enfin, les SpatioComs sont, comme leur nom l’indique, plus particulièrement dédiés aux communications spatiales et possèdent des portées pouvant aller jusqu’à 2 millions de km voire plus dans le cas de versions faites sur mesure.

Informatique & Multicognition

Ordinateurs & Terminaux

Les ordinateurs et terminaux sont basés sur la technologie NanoQuantique, intégrant des dizaines de milliers de Nanoprocesseurs, qui leur permet de traiter de grandes quantités de données en parallèle à des vitesses extrêmement élevées tout en conservant une très bonne compacité. Ils intègrent un système de stockage, généralement amovible, de très grande capacité dont il est très difficile d’atteindre les limites, notamment grâce à l’existence d’algorithmes de compression particulièrement performants et à la présence de systèmes de nettoyage des données inutiles ou redondantes.
Les terminaux sont relativement basiques et ne disposent pas d’une puissance de calcul très importante. Ils sont principalement prévus pour être connectés aux réseaux (via leurs modules SysCom) afin de tirer partie des ressources qui s’y trouvent. Au delà, les ordinateurs proposent des niveaux de performance à même de satisfaire les utilisateurs les plus exigeants mais à des tarifs de plus en plus élevés.
Les ordinateurs et terminaux utilisent des systèmes d’exploitation polymorphes, basés sur des centaines de noyaux différents, compatibles avec un très grand nombre d’architectures de processeurs et capables de s’adapter aux programmes et logiciels qu’ils doivent exécuter. Si le résultat n’est pas toujours parfait, les taux de compatibilité approchent couramment les 100%, permettant ainsi d’être toujours assuré de faire fonctionner n’importe quel logiciel.
Les systèmes d’exploitation et de navigation, appelés NavSys, sont pourvus de toute une suite de logiciels de base et intègrent un assistant, l’ImAge, configurable à loisir (cf. infra Robotique & Intelligence Artificielle).
La plupart des gens possèdent un ComTerm, un terminal de poche plus particulièrement adapté aux médias de communication, qu’ils portent en permanence sur eux. Avec une interface de type visiosystème (cf. ci-après) en complément, l’accès aux médias d’information se fait de façon très simple, de n’importe où, ce qui explique l’engouement général pour ce type de système.

Interfaces

Les interfaces ont une importance cruciale puisque ce sont elles qui font la liaison entre la machine et l’utilisateur. Il est ainsi généralement plus important de disposer d’une excellente interface associée à un système moyennement performant plutôt que le contraire. C’est d’autant plus vrai dans le cadre d’utilisations particulières comme le contrôle à distance.
On trouve ainsi des interfaces d’entrée (principalement les micros, les caméras, les pavés de navigation et les sphères NavBall), des interfaces de sortie (écrans, holoprojecteurs, systèmes de sonorisation,…) et enfin, les plus répandues, les interfaces polyvalentes telles que les visiosystèmes qui sont à la fois des interfaces d’entrée et de sortie.
Les visiosystèmes sont des systèmes mains libres se présentant généralement sous la forme de lunettes de visualisations équipés d’un écran transparent et incorporant des écouteurs. A cela s’ajoute, selon les versions, un ou plusieurs micros, une ou plusieurs caméras ou divers autres équipements électroniques (chronographe, holoprojecteur,…).
Ces interfaces autorisent de larges possibilités en terme de commande et de communication. On recense ainsi les commandes classiques de type tactile, les commandes et communications vocales via les micros, les commandes et communications subvocales via divers systèmes spécialisés, les commandes gestuelles, la communication par signes et les commandes oculaires via les caméras. Les systèmes informatiques peuvent ainsi obéir au doigt et à l’œil…

Multicognition

L’informatique a pour but de stocker l’information, de la faire transiter et de permettre d’effectuer diverses opérations de traitement, de classement et de transformation de l’information. Avec un potentiel de production croissant, du matériel et des installations de plus en plus efficaces, la quantité d’informations gérées devient rapidement énorme. Cette efficacité est associée à un problème croissant, la fiabilité des informations disponibles : sont elles pertinentes, justes, complètes, vraies, non erronées,… Le problème se pose de façon encore plus marquée lorsque les informations proviennent de très loin, comme c’est couramment le cas dans les galaxies jumelles, avec, qui plus est, des pratiques courantes de désinformation, de manipulation ou d’intoxication.
La réponse à ce problème est en grande partie apportée par les systèmes de multicognition. Ils se présentent sous la forme de logiciels qui, couplés aux assistants des NavSys, recoupent les informations trouvées lors de recherches en utilisant un maximum de sources possibles, des plus fiables au moins fiables. Un taux de fiabilité est ainsi associé à chacune des informations disponibles allant de 0% (concepts transcendants invérifiables, axiomes,…) à 100% (vérités communément admises), permettant à l’utilisateur d’avoir une idée de la qualité de l’information reçue. A cela peuvent s’ajouter des taux de pertinences et des taux d’intérêt calculés en fonction de la nature de la demande et du profil de l’utilisateur.
Cependant, ces systèmes ne se prononcent pas systématiquement. Lorsqu’il n’y a pas assez de sources disponibles ou que d’une manière générale, les éléments sont insuffisants pour donner une estimation satisfaisante, ils préfèrent s’abstenir. Mais même si ce système est plutôt performant, il est toujours hasardeux de s’y fier aveuglément.

Biométrie

Très utilisée en informatique, notamment pour l’identification et l’authentification, la biométrie joue notamment un rôle central dans le système d’identification global hérité des Anciens. Celui-ci se matérialise principalement sous la forme de l’Idente, la carte d’identification individuelle que possède chaque personne. Celle-ci regroupe en effet cinq systèmes d’identification distincts en plus de l’état civil de la personne (noms et éventuels surnoms, date et lieu de naissance), il s’agit d’une modélisation 3D standard de l’individu (régulièrement réactualisée), des numérisations standard de l’ADN, de l’iris, de l’empreinte vocale et des empreintes digitales.
L’Idente, éventuellement associée à un ou plusieurs visas permet de passer les douanes et les postes de contrôle des stations orbitales et des AstroPorts des différents systèmes des galaxies jumelles. Le passage des douanes d’une planète s’associe à une inscription systématique dans les fichiers d’état civil de la planète en question (si ce n’était pas déjà le cas) associée à la durée de validité du visa. Par ailleurs, l’Idente est généralement requise pour effectuer des paiements au-delà d’un certain montant ou pour se connecter à certains réseaux informatiques en parallèle avec un contrôle biométrique.
A cet effet, il existe toute une gamme de scanners biométriques allant du GénoScanner, destiné à donner le code génétique d’un individu (à partir d’un cheveu ou d’un peu de salive par exemple) afin de le confronter avec les données de son Idente, à l’IrisScanner qui se présente sous la forme d’une petite caméra associée à un logiciel spécialisée dans la reconnaissance d’images et plus particulièrement d’images d’iris, en passant par le DigiScanner pour les empreintes digitales ou le VocalScanner pour déterminer l’empreinte vocale.

Robotique & Intelligence Artificielle

Intelligence Artificielle

Malgré d’importantes avancées, l’intelligence artificielle reste un gigantesque chantier et nombreux sont ceux qui considèrent que le terme intelligence est largement galvaudé dans cette expression. Les applications sont cependant extrêmement nombreuses et visent pour la plupart à accroître et améliorer l’autonomie des ordinateurs et des robots.
Les différentes intelligences artificielles fonctionnent suivant des principes similaires : elles combinent différents pôles effectuant des traitements en parallèles et en interaction les uns par rapport aux autres. Parmi ces différents pôles, on peut citer des réseaux neuronaux formels couplés à des réseaux astrocytaires formels, des systèmes d’algorithmes traditionnels, des systèmes de comparaisons statistiques, des schémas empiriques, des stratégies conservatrices, des systèmes d’évaluation, des schémas inter-cognitifs, des systèmes de logique, des systèmes corrélatifs, des rétrocontrôles,…
Malgré toute cette panoplie, les résultats ne sont pas toujours à la hauteur car rien de tout cela ne garantit l’infaillibilité. Néanmoins, les logiques artificielles, comme on les appelle souvent, disposent de nombreuses possibilités parmi lesquelles ont peut citer comme étant les plus marquantes : la compréhension et l’expression du langage universel (en grande partie grâce à sa structuration), la capacité à soutenir des conversations moyennement complexes, à s’adapter face à des environnements nouveaux, à élaborer de nouvelles logiques comportementales pour faire face à des besoins spécifiques,…
Bien évidemment, les machines demeurent imbattables lorsqu’elles appliquent des procédures toutes faites mais sont facilement prises au dépourvu lorsqu’elles sont confrontées à des situations totalement nouvelles et non prévues. Selon les cas, elles s’abstiennent d’agir (stratégies de conservation prioritaires) ou adoptent un comportement totalement erratique (stratégies d’action prioritaires).

ImAges

Une des principales applications des systèmes de logique artificielle se retrouve au niveau des NavSys des terminaux et ordinateurs. Ceux-ci disposent d’assistants intégrés, également appelés compagnons, serviteurs ou encore ImAges (car d’une certaine manière créés à l’image de l’utilisateur). Discrets, efficaces, totalement paramétrables et s’ajustant d’eux-mêmes à leurs utilisateurs, ils constituent généralement l’interface privilégiée des systèmes d’exploitation.
Leur principal rôle est la gestion de l’information et de la multicognition : l’image effectue ainsi des recherches automatiques associées à un tri permanent parmi les informations jugées pertinentes par l’utilisateur et réalise des synthèses régulièrement réactualisées, adaptées au profil psychologique de l’utilisateur afin de leur donner un impact optimal.
Afin de paraître moins fades et de proposer des options de personnalisation supplémentaires, les ImAges proposent tout un éventail de modules de personnalités, permettant d’accentuer certains traits de caractères voire de reproduire des tempéraments particuliers. Les résultats ne sont cependant pas toujours très concluants.

Robots & Androïdes

Ils sont relativement répandus et tirent grandement partie des systèmes de logique artificielle, notamment en ce qui concerne les androïdes. Ces derniers sont cependant principalement utilisés dans le cadre d’applications militaires ou paramilitaires et plus rarement par les forces de l’ordre. Les particuliers utilisent plus volontiers des robots de type semi-androïde ou des androïdes simplifiés.
Les robots peuvent prendre toutes sortes d’apparence, être fixes ou mobiles (avec des systèmes de propulsion de tous types) et leurs tailles sont également très variables allant des NanoBots aux gigantesques robots industriels en passant par les drones, les robots de combat de classe Kiasma,…
Les véhicules classiques disposant de systèmes de pilotages automatiques (ce qui est le cas la plupart du temps) peuvent également être considérés comme des drones.
Les robots et androïdes possèdent trois principaux modes de fonctionnement : le mode autonome dans lequel ils utilisent leurs facultés logiques artificielles, le mode piloté (généralement à distance) où ils sont directement contrôlés par un ou plusieurs utilisateurs et enfin le mode mixte qui est un mélange des deux précédents.

Biotechnologie

Présentation

Par opposition aux technologies dites artificielles, les biotechnologies sont souvent considérées comme naturelles. Elles exploitent au maximum les ressources de la nature et notamment du vivant afin d’apporter des solutions aussi performantes que celles proposées par les technologies classiques, avec en point de mire un respect total des écosystèmes. Pas forcément plus coûteuses, ces technologies ne proposent cependant pas le même rendement que les classiques et ne proposent pas un éventail de possibilités aussi large.
On distingue principalement deux grands courants : les biotechnologies naturelles et les biotechnologies modifiées et améliorées. Ces dernières ont bénéficié de modifications génétiques voire ont été génétiquement créées alors que les premières n’utilisent que des organismes purement naturels. La distinction est cependant peu évidente entre les deux tant il est parfois difficile de savoir si le génome d’une espèce animale ou d’une essence végétale n’a pas été modifié par le passé.
En termes de recyclage, même si des matériaux comme les tectites proposent un taux de recyclage approchant les 80%, celui-ci est coûteux, relativement polluant et moins performant que le recyclage avoisinant les 100% des biotechnologies, bien souvent quasiment gratuit mais cependant beaucoup plus long d’une manière générale (cycle naturel). Des procédés de recyclage accélérés permettent de pallier à cet inconvénient mais le coût est plus élevé et le taux de recyclage moins élevé.

Applications

Les domaines d’application sont très nombreux, les biotechnologies pouvant être utilisées dans bien des cas en remplacement de procédés chimiques ou métallurgiques. On peut ainsi citer la purification de l’eau par les plantes, les matériaux à base de résines naturelles ou synthétisées (en remplacement des polymères), la purification de l’air grâce à des végétaux, des amibes ou des bactéries, la fabrication et/ou le recyclage de matériaux par le biais de bactéries sélectionnées ou génétiquement modifiées, les médicaments à base de plantes médicinales naturelles ou créées, les matériaux mixtes tels que les biotectites mélangeant tectites et biomatériaux (compromis permettant d'obtenir des taux de recyclage proches de 90%) ainsi que les bioptérites et biomnésites, l’agriculture utilisant des engrais dits naturels, de nombreuses applications dans le secteur agroalimentaire, les alicaments, les armes biochimiques & bactériologiques, la technologie bionique compatible (cf. ci-après),…

Médecine & Génétique

Prothèses Bioniques

Grâce à la technologie bionique compatible, il est possible d’obtenir des prothèses bioniques (contraction de biologique-organique), qu’il s’agisse d’organes ou de membres, possédant une compatibilité génétique et morphologique quasi-totale avec le patient subissant la greffe ou l’opération. Les rejets sont extrêmement rares et concernent moins d’un individu sur un million. Dans le cas des membres, au bout de deux-trois mois d’adaptation et de rééducation, le patient en retrouve le plein usage.
Les prothèses bioniques qui sont des systèmes cellulaires vivants synthétiques sont produites de manière à pouvoir être marquées génétiquement en fonction de la personne destinée à recevoir la greffe afin d’obtenir une compatibilité totale. Les planètes les plus importantes disposent ainsi de stocks de prothèses prêtent à l’emploi correspondant aux morphologies les plus répandues avec une répartition par espèce équivalente à celle de la population planétaire. Les temps d’attente sont ainsi particulièrement courts surtout pour les organes vitaux, stockés en plus grande quantité. Ils n’excèdent que rarement une semaine en règle générale.
A l’inverse des prothèses cybernétiques, totalement illicites sur la plupart des systèmes, les prothèses bioniques sont pleinement légales tant qu’elles sont conformes au génotype de la personne ayant subi la greffe. Il n’en va pas de même pour les prothèses bioniques génétiquement modifiées (BGM).

Chirurgie

Que ce soit pour réparer des membres ou des organes abîmés ou pour les remplacer par des prothèses synthétiques ou encore pour tout autre type d’intervention nécessitant une intervention physique sur les tissus et organes, la chirurgie est incontournable.
Les différentes branches de la chirurgie sont extraordinairement performantes et permettent de remettre rapidement sur pied des personnes précédemment à l’article de la mort. La neurochirurgie elle-même permet d’intervenir sans problème sur l’ensemble du système nerveux et sur la moelle épinière. Les opérations sur le cerveau demeurent cependant extrêmement complexes et même s’il est possible de réussir un certain nombre d’interventions difficiles, tout n’est pas réalisable et un cerveau trop endommagé ne permet pas d’obtenir des résultats satisfaisants.
Par ailleurs, les domaines connexes de la microchirurgie, de la nanochirurgie et de la chirurgie endoscopique tirent grandement partie des robots médicaux miniaturisés que sont les MicroMeds (interventions guidées et automatiques) et les NanoMeds (interventions automatiques exclusivement).

Premiers Secours

Dans le but de sauver des vies lorsque l’intervention de personnes spécialisées est impossible ou difficile, le programme MédiKit, sur les bases de ce qui existait déjà en terme de trousses de premier secours à usage rapide, a été lancé dès les débuts du Conseil de la Paix. Il a consisté à définir un matériel standard pouvant être facilement utilisé par tout un chacun sans avoir forcément des notions de médecine tout en disposant d’un potentiel de soin très correct.
Une fois les standards définis, un module d’apprentissage avait été mis en place afin d’apprendre à tous à se servir des MédiKits. Depuis lors, un enseignement spécifique est dispensé aux enfants des différents systèmes des galaxies jumelles afin d’exploiter pleinement le potentiel des MédiKits. Des formations complémentaires sont également dispensées aux adultes à chaque évolution des Médikits.
Un médikit ne remplace cependant pas un médecin et les traumatismes graves et les pathologies complexes nécessitent toujours d’être prises en charge par du personnel spécialisé. Il est d’ailleurs très fortement conseillé de consulter un médecin après l’utilisation d’un MédiKit. Par ailleurs, plusieurs utilisations rapprochées de MédiKits sans consultation entre temps peuvent conduire à ce que l’on appelle des contrecoups pouvant affecter durablement la santé de la personne.
Les médikits standard sont prévus pour permettre trois utilisations optimales. Afin d’éviter, tant que faire se peut, tout bricolage abusif, le terminal de diagnostique intégré se bloque automatiquement après la 3ème utilisation et dans la plupart des systèmes habités, le retour d’un médikit consigné usagé permet d’en récupérer un neuf gratuitement auprès des établissements spécialisés.
Ces kits relativement compacts comprennent principalement un terminal proposant un système de diagnostiques fiables et d’interventions guidées, un assortiment de médicaments spécifiques, des pansements cicatrisants de tous types, des bandages, des pommades antiseptiques, des flacons de liquide physiologique chargé en NanoMeds (configurés à la volée par le terminal intégré) pour les interventions internes légères, des doses légères de drogues de soin Ord Klistra et des systèmes de consolidation provisoire des os fonctionnant par injection (efficaces pour les fêlures et les fractures légères,…).
Plus récemment, afin d’épauler les médikits qui fonctionnent bien dans les cas simples, pour les blessures ne nécessitant pas d’intervention lourde (chirurgie organique, bionique,…), les TraumaKits ont été introduits. En allant encore plus loin dans la sophistication et dans l’élaboration de techniques de diagnostic intuitives et efficientes, ces kits permettent à tout un chacun d’intervenir même auprès de personnes gravement blessées que seuls les médecins peuvent soigner avec un MédiKit classique. Moins performants et plus coûteux, ces nouveaux kits constituent cependant une véritable prouesse technique.

Cocons Médicaux

Tout un ensemble de cocons médicaux ont été développés afin de répondre à une grande variété de besoins en termes d’utilisations médicales. Les cocons chirurgicaux permettent d’effectuer tous les types d’interventions chirurgicales connues. Une intervention chirurgicale est par exemple nécessaire lorsqu’il faut remplacer un membre ou un organe par une prothèse bionique.
Très utilisés, les cocons médicaux de régénération (CMR) permettent, quant à eux, de soigner un personnage dont l’état ne nécessite pas de pratiquer une opération chirurgicale. Le personnage est immergé dans un liquide antiseptique et nutritif favorisant la cicatrisation, régénérant les tissus, qui contient bien souvent des centaines de NanoBots médicaux capables de réparer les micro-lésions.
Les cocons cryogéniques étaient, quant à eux, utilisés à l’origine lors de longs voyages spatiaux, lorsque les technologies de sauts SupraLuminique ou même UltraLuminique étaient bien plus lentes qu’à l’heure actuelle. Leur principale qualité était alors de ralentir le vieillissement naturel. On estime ainsi que le vieillissement n’est plus que d’un an pour dix ans passés dans un cocon cryogénique. Ces derniers sont cependant munis de sécurités entraînant une décryogénisation automatique au bout de 6 mois standard afin d’éviter tout problème d’ankylose et d’atrophie musculaire en complément de systèmes asservis destinés à régulièrement solliciter les muscles. Le développement de microbes est également limité du fait des basses températures qui les maintiennent en état de dormance. L’utilisation de ce type de cocon est quasiment exclusivement médicale à l’heure actuelle puisqu’ils permettent, s’ils sont bien utilisés, de stabiliser un patient dans un état critique, le temps de lui administrer des soins intensifs. Ils peuvent toutefois être encore utilisés lors de longs voyages spatiaux sur des cargos dotés de propulseurs UltraLuminiques peu performants.

Décontamination Radiale

La nanotechnologie a permis de mettre au point des NanoMeds spécialisés, capables d’éradiquer les cellules frappées de dégénérescence. Mis au point dans un premier temps afin de soigner les cancers cette technologie s’est également avérée efficace pour traiter les personnes irradiées.
On retrouve ces nanomeds spéciaux dans les cocons de décontamination radiale (CDR) qui permettent de soigner toute personne irradiée par des radiations de type A, B ou C. Une régénération de l’ADN est effectuée et toutes les cellules dégénérées ou suspectes sont éliminées ou remplacées.

Armements & Protections

Armes Énergétiques

Le secteur de l’armement est certainement l’un de ceux qui a connu les plus grands bouleversements récemment et par conséquent les avancées les plus spectaculaires. Il a notamment vu l’apparition (en fait la réapparition) de nouveaux types d’armes dotées d’une puissance de feu accrue mais surtout d’une facilité d’utilisation redoutable : les armes énergétiques de tir qui disposent grâce à leurs batteries d’une autonomie d’environ une semaine en moyenne.
Ces armes que l’on retrouve à tous les niveaux, que ce soit dans le domaine des armes de poing ou des armes lourdes ont littéralement révolutionné les stratégies et tactiques militaires. Les armes énergétiques ont ainsi avantageusement remplacé les armes à feu et se sont surtout répandues à travers les systèmes avant même la fin du règne des Anciens à l’occasion de la folle course à l’armement qui s’est produite lors de cette période.
Parmi les armes énergétiques, on retrouve les armes laser, les plus répandues, qui utilisent des faisceaux de lumière cohérents afin de causer des dommages aux cibles visées. Les armes laser possèdent de nombreuses déclinaisons : P-Laser, T-Laser, F-Laser,… adaptées à différents usages.
Elles sont cependant concurrencées par les armes à plasma, d’un niveau de puissance similaire mais qui possèdent également un mode surpuissance permettant d’accroître les dégâts causés. Enfin, viennent les armes à fusion, les plus puissantes et les plus rares, les plus chères aussi.

Armes Protoniques

Elles sont relativement anciennes et assez répandues car elles étaient tolérées au cours de l’Ancien Régime, même si leur usage était strictement réglementé.
Ces armes se présentent généralement sous la forme de poignées desquelles sort un flux protonique. Celui-ci est en partie guidé par un flux électromagnétique qui contribue à lui donner sa forme et sa couleur en agissant sur le flux de protons. Ceux-ci proviennent d’un accélérateur de particules miniaturisé qui agit sur leur structure propre et définit géométriquement la ou les parties tranchantes de l’arme (ou plus exactement plus tranchante que les autres zones du flux). Cette double gestion du flux permet d’obtenir des armes de formes et d’utilisations très variables allant de la simple dague protonique faisant une quinzaine de cm au glaive protonique de plus d’un mètre de long.
Cela permet également, en augmentant momentanément le volume du flux (au détriment de sa finesse et de sa précision de taille) de faciliter les tentatives de parade de tirs d’armes énergétiques. Cette caractéristique leur permet d’éviter de tomber en désuétude du fait de la réapparition des armes énergétiques. De plus, elles constituent des armes redoutables au combat rapproché.

Armes non Létales

Outre les armes classiques dites létales, il existe tout un ensemble d’armes destinées à neutraliser l’ennemi plutôt qu’a le blesser ou en tout cas conçues pour éviter de le tuer. Il s’agit notamment de toute la gamme des armes paralysantes telles que les pistolets à rayons paralysants appelés communément paralysants ou PRP et les grenades à gaz paralysant. Les premiers sont basés sur un procédé utilisant des infrasons guidés par une porteuse laser de faible puissance alors que les grenades ont recours à des produits chimiques visant à bloquer le système nerveux central sans l’endommager. On trouve également les armes à aiguilles tirant partie des technologies de propulsion électromagnétique (qui peuvent être utilisées comme armes létales) associées à des aiguilles dotées de capsules soporifiques ou incapacitantes ainsi que les pistolets à fléchettes (exclusivement de type sub-létal).
Les armes paralysantes sont largement utilisées par les forces de l’ordre, notamment par les équipes d’intervention et par les équipes anti-émeute. Les PRP sont cependant totalement inefficaces contre les armures et contre les individus situés à l’intérieur de véhicules. Les gaz paralysants ont, quant à eux, une efficacité très relative en extérieur.
Par ailleurs, on trouve également des curiosités comme les englueurs, principalement utilisés par les chasseurs de primes. Ce type d’arme projette un film plastique qui, en se solidifiant, emprisonne complètement la cible visée dans un filet extrêmement résistant qui l’immobilise totalement. Même si le taux d’échec associé aux englueurs est important (un tir sur trois est inefficace), il s’agit d’une arme qui ne provoque absolument aucun dommage et qui reste efficace même si la cible possède une armure. Il est cependant possible pour l’individu visé, s’il possède une arme blanche, de tenter de s’en servir pour se libérer avant d’être définitivement neutralisé. Mais il est crucial d’agir rapidement car se débattre n’a pour effet que de permettre aux mailles du filet de se resserrer davantage.

Déflecteurs

Développés à l’origine principalement pour le secteur spatial afin de servir de protection aux vaisseaux face aux particules spatiales et aux débris orbitaux, les écrans déflecteurs ont été par la suite largement améliorés en vue d’applications militaires. Ils offrent ainsi une protection valable face aux tirs d’armes énergétiques et aux projectiles autopropulsés tels que les missiles et les torpilles.
La technologie utilisée à l’heure actuelle est basée sur le principe du flux circulant de plasma ionisé. La circulation s’effectue à très haute vitesse à la surface d’un ellipsoïde généralement sphérique. Le flux donne une couleur verte ou bleutée à la sphère entourant le vaisseau et n’empêche pas la circulation transverse de flux électromagnétiques de faible puissance (ondes radio). A l’inverse, tout flux d’énergie ou de matière trop important orienté de l’extérieur vers l’intérieur de la sphère est irrémédiablement stoppé par le flux de plasma, dans la limite des possibilités d’absorption de celui-ci.
Ce système, relativement récent, de contrôle de l’orientation des flux, permet ainsi de continuer à utiliser des armes énergétiques et de lancer des projectiles autopropulsés depuis un vaisseau protégé par un ou plusieurs écrans déflecteurs.
Les écrans déflecteurs, auparavant réservés aux vaisseaux spatiaux, sont désormais adaptables sur tous types de véhicules et fonctionnent parfaitement bien en atmosphère planétaire. Des versions miniaturisées, les champs de forces à particules (les Voxels), sont même disponibles pour protéger les individus. Ils emploient un principe de fonctionnement légèrement différent puisqu’ils utilisent des flux de particules ionisées. Ce principe spécifique permet également d’utiliser des armes destinées au combat rapproché telles que les armes protoniques.
Pouvant être employés comme des armes particulièrement destructrices, les écrans et les champs de force sont totalement illégaux sur la très grande majorité des planètes habitées.

Autres

Les technologies ont également connus d’importants progrès dans de très nombreux autres domaines : les matériaux avec la nanotechnologie et plus récemment la picotechnologie autorisant la mémoire de forme et le contrôle de forme, l’habitat avec la domotique avancée, les techniques de construction avec l’assemblage de type Zilon, la défense et la sécurité avec les nombreux équipements de détection, l’agroalimentaire avec les systèmes de conservation des aliments par encapsulage cryogénique sous vide… la liste des applications de toutes ces technologies est quasiment sans fin et ne cesse de s’allonger de jour en jour…
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